Les aliments ultra-transformés s’invitent de plus en plus sur nos tables… au détriment de notre santé. Boissons gazeuses ou bonbons, crème glacée ou céréales sucrées de petits déjeuner, croquettes de viande, frites, pizzas surgelées, soupes en brique, représentent jusqu’à 50% de notre apport calorique. Apprenons à les repérer pour mieux les éviter !
Manger sain est de plus en plus difficile avec la multiplication de l’offre des aliments ultra-transformés. Voici quelques recommandations pour faire le tri dans votre assiette afin d’avoir une alimentation qui prend soin de vous.
Kosa sa les aliments ultra-transformés ?
Selon le Docteur Anthony Fardet, chercheur en nutrition préventive, : « ce sont des aliments – ou plutôt devrait-on parler de « produits » – qui contiennent au moins un texturant, un colorant ou un exhausteur de goût d’origine principalement industrielle, donc que vous ne pouvez pas trouver en faisant vos courses. Ils sont là pour restaurer, imiter et/ou exacerber les propriétés sensorielles de l’aliment [l’odeur, le goût, la texture ou l’aspect, NDLR]. On peut parler de « faux » aliments ou « fake foods » dans le sens où les vrais aliments n’ont pas besoin qu’on les « maquille » avec des colorants, texturants ou exhausteurs de goût ».
Autrement dit, les aliments ultra-transformés (AUT) ne se résument pas à notre vision traditionnelle de la malbouffe – frites, sodas et compagnie. Ils peuvent même s’insinuer jusque dans les rayons bio, diététiques ou végétariens (voir encadré)…