Avec l’AVC, le risque zéro n’existe pas. Mais il est possible de réduire la probabilité d’une attaque en limitant les facteurs qui favorisent les différents types d’accident. Voici quelques conseils.

Qu’il soit ischémique ou hémorragique, l’AVC survient le plus souvent chez des personnes présentant des facteurs de risque liés à leur hygiène de vie ou à certains problèmes de santé. Agir sur ces différents problèmes est la meilleure stratégie pour prévenir les accidents.

ÂGE, HYPERTENSION, DIABÈTE : PREMIERS FACTEURS DE RISQUE

L’âge est le premier facteur de risque pour l’AVC, du fait du vieillissement de la paroi des artères et donc de leur fragilisation. Mais les AVC ne touchent pas que les personnes âgées. En France, 25 % des attaques surviennent chez les moins de 65 ans.

En matière d’AVC, la prévention repose principalement sur le dépistage et le traitement des pathologies qui induisent un risque vasculaire accru à savoir :

  • L’hypertension artérielle,
  • L’excès de cholestérol,
  • Le diabète,
  • L’obésité,
  • Les troubles du rythme cardiaque (fibrillation auriculaire).

La prise en compte de certains comportements à risque est également déterminante.

En plus de l’âge, quels sont les facteurs à risque ?

  • Le tabac ;
  • La consommation excessive d’alcool ;
  • La sédentarité ;
  • Une mauvaise alimentation.

S’informer et apprendre à identifier les facteurs de risque cardiovasculaire est la première étape vers la prévention du risque d’AVC, mais aussi des autres maladies cardiovasculaires. À l’occasion d’une consultation chez votre médecin traitant, nous vous invitons donc à évoquer avec lui votre risque cardiovasculaire, même si vous n’avez aucun facteur de risque apparent.

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