La France condamne sévèrement la commercialisation d’organes en vue de greffe sur son territoire. Le don est la seule solution pour pouvoir bénéficier d'une greffe de rein. Le principe de solidarité est la base du don d’organes et de tissus, et donc de la greffe.
Donneur décédé : À notre décès, en cas de mort cérébrale et si nos organes sont en état d'être greffés, nous sommes en théorie tous donneurs présumés, sauf si nous avons exprimé notre refus de notre vivant. Pour ce faire, deux solutions : s’inscrire sur le registre national des refus, géré par l’Agence de Biomédecine, ou informer clairement sa famille ou son conjoint. C’est vers eux que l’équipe médicale se tourne en priorité, même si le défunt porte une carte de donneur, afin de s’assurer par exemple qu’il n’avait pas changé d’avis.
En somme, la règle est simple : « Je suis donneur sauf si je dis que je ne suis pas donneur. Pour être sûr que ma volonté soit respectée, j’en parle à mes proches, maintenant. »
Pour être donneur de son vivant, il faut être majeur, volontaire, en bonne santé, et faire partie des proches du receveur. Peuvent être donneurs le père ou la mère du receveur, ses enfants, frères, sœurs ou conjoint, grands-parents, oncles ou tantes, cousines et cousins germains, mais aussi les conjoints du père et de la mère.
Le donneur peut également être toute personne apportant la preuve d’une vie commune d’au moins deux ans avec le receveur, ainsi que toute personne pouvant apporter la preuve d’un lien affectif étroit et stable depuis au moins deux ans avec le receveur.
La France condamne sévèrement la commercialisation d’organes en vue de greffe sur son territoire. Le don est la seule solution pour pouvoir bénéficier d'une greffe de rein. Le principe de solidarité est la base du don d’organes et de tissus, et donc de la greffe.
Donneur décédé : À notre décès, en cas de mort cérébrale et si nos organes sont en état d'être greffés, nous sommes en théorie tous donneurs présumés, sauf si nous avons exprimé notre refus de notre vivant. Pour ce faire, deux solutions : s’inscrire sur le registre national des refus, géré par l’Agence de Biomédecine, ou informer clairement sa famille ou son conjoint. C’est vers eux que l’équipe médicale se tourne en priorité, même si le défunt porte une carte de donneur, afin de s’assurer par exemple qu’il n’avait pas changé d’avis.
En somme, la règle est simple : « Je suis donneur sauf si je dis que je ne suis pas donneur. Pour être sûr que ma volonté soit respectée, j’en parle à mes proches, maintenant. »
Pour être donneur de son vivant, il faut être majeur, volontaire, en bonne santé, et faire partie des proches du receveur. Peuvent être donneurs le père ou la mère du receveur, ses enfants, frères, sœurs ou conjoint, grands-parents, oncles ou tantes, cousines et cousins germains, mais aussi les conjoints du père et de la mère.
Le donneur peut également être toute personne apportant la preuve d’une vie commune d’au moins deux ans avec le receveur, ainsi que toute personne pouvant apporter la preuve d’un lien affectif étroit et stable depuis au moins deux ans avec le receveur.